Osons une vie pleine de sens
J’ai perdu 40 millions d’euros et j’ai découvert une vie pleine de sens
L’auteur livre ici son parcours de vie, ses stratégies, sa philosophie, ses astuces. Il partage, sans détours, sa vision innovante de la liberté financière. Mêlant savamment le développement personnel aux stratégies immobilières, l’entrepreneur passionné vous livre les secrets qui lui ont permis de construire un véritable empire immobilier, avec intégrité et pragmatisme.
Ce livre est un véritable guide des stratégies permettant au lecteur de développer ses meilleurs atouts, et atteindre la réussite.
Alors est-ce parce que je n’ai jamais lu en entier d’ouvrages dédiés à ce type de sujet, que j’ai accroché avec « J’ai perdu 40 millions d’euros… » ?
Car j’y ai trouvé le résumé que j’aurais pu chercher un jour ou l’autre pour « aller mieux ». Un condensé détaillé qui expose des concepts qui m’ont déjà parlé, et sur lesquels je voulais approfondir mes lectures en dépassant le stade de l’article de magazine féminin : Accepter la douleur, pratiquer la non-résistance, 5 clés pour lâcher-prise, la gratitude, vivre en pleine conscience, la visualisation.
D’autres que moi pourront être plus interpellés par le chapitre sur l’alimentation, ou les clés pour retrouver la joie de vivre, le couple, se libérer de la culpabilité, la matérialisation des rêves, les synchronicités… et bien d’autres.
Autant de clés, d’outils pour vivre au mieux nos quotidiens, quels que soient nos passés.
Sophie du blog Top-Topic
Mon cher Ludovic, je voulais te dire un immense merci pour ce livre qui est une ode à la résilience, un hommage à l’échec, un véritable appel à la vie. Un superbe exemple que tout est possible, un pas à la fois, quand on croit en Soi. Mais le vrai Soi, celui qui vibre de l’intérieur, qui nous chuchote au fond du cœur ce qui nous anime vraiment.
Elo
J’ai lu les 3/4 dans le TGV. Je devrais plutôt dire, dévorer… Merci. Je me retrouve tellement dans votre parcours. Vous avez tellement de choses à apporter aux entrepreneurs ! Bravo et merci.
Yannick Latte