Une fois que nous avons pris conscience de notre mécanisme de résistance, nous pouvons nous arrêter en devenant conscient de notre respiration.

J’ai donc commencé à pratiquer des respirations profondes en pensant à mes problèmes, en les acceptant mais sans chercher à les résoudre.

En me réfugiant dans ma respiration, dans l’instant présent, je trouvais comme un abri au milieu de la tempête. Les difficultés restaient présentes et inchangées, mais cet exercice me permettait de les observer et de prendre du recul.

Plutôt que de vouloir à tout prix changer la situation, j’ai commencé par changer ma réaction au problème. Et j’ai constaté que, bien souvent, en faisant confiance à ce qui va arriver, une solution finit par émerger du brouillard.

Et vous, prenez vous le temps de vous arrêter et de respirer ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

En te levant le matin, rappelle toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux (Marc Aurèle)